RHOPIP 2

Rachianesthésie Ropivacaïne VS Anesthésie Générale et survenue d’hypotension artérielle peropératoire dans la prise en charge en urgence de la FESF chez le sujet âgé : une étude comparative rétrospective monocentrique RHOPIP 2.

La chirurgie de la fracture de l’extrémité supérieure du fémur est fréquente et concerne en particulier des patients âgés souvent vulnérables. Les deux techniques principales d’anesthésie utilisées sont l’anesthésie générale et la rachianesthésie. Ces deux techniques présentent des avantages et des inconvénients, et il incombe à l’anesthésiste de déterminer laquelle convient mieux à chaque profil de patient. Par ailleurs, il est démontré que la survenue d’hypotension artérielle pendant une intervention est source de morbi-mortalité pour les patients. Toute anesthésie doit minimiser ce risque en per-opératoire. 

Finalités poursuivies : notre étude consiste à comparer la survenue d’hypotension artérielle pendant une intervention de chirurgie de fracture du fémur en urgence chez des patients de plus de 65 ans bénéficiant soit d’une anesthésie générale soit d’une rachianesthésie à la Ropivacaïne, une des molécules largement utilisée à Grenoble dans cette indication. L’objectif est de déterminer si la rachianesthésie permet de réduire les épisodes d’hypotension artérielle par rapport à l’anesthésie générale.

Catégories de personnes concernées : nous incluons dans notre étude des patients âgés de plus de 65 ans ayant été opérés en urgence d’une fracture du fémur entre janvier 2016 et septembre 2023, soit sous rachianesthésie à la Ropivacaïne, soit sous anesthésie générale.

Données utilisées : les données sont recueillies à partir des comptes-rendus d’hospitalisation, de consultation et de la feuille d’anesthésie sur les logiciels du CHU Easily et Diane. 

Accès aux données : les données sont anonymisées et recueillies dans un fichier Excel protégé par un mot de passe.  
Durée de conservation et de l'étude : le recueil et l’analyse des données auront lieu de juillet 2025 à mars 2026. Les données seront conservées 2 ans après la fin de l’analyse.

Droit des personnes : vous trouvez toutes les informations concernant la recherche au CHUGA, ainsi vos droits informatiques et libertés ici.